Un parchemin est glissé sur la table, à la va vite, comme si la personne qui l'avait posé là ne voulait pas être vue.
L'écriture est chiffonne, emplie de ratures et quelques larmes perlent sur le vieux papier.
"Bonsoir à tous.
Je vous dépose cette lettre dans l'espoir que quelqu'un la lira. Je quitte Astrub, la vie de cité n'est pas faite pour moi, je retourne vivre dans mes montagnes. Bien qu'ayant essayée de m’intégrer j'ai senti que j'étais trop différente, trop peu accoutumée à la vie en communauté. Puissiez vous vivre heureux. Je ne suis pas douée pour écrire, n'ayant pas pratiqué depuis longtemps. Je m'excuse de partir si précipitamment, mais la ville me rend malade.
Je vous embrasse.
Kendina"